« Père riche, père pauvre » vous a donné envie de prendre en main vos finances ? Parfait… mais ce n’est que le début. Pour aller plus loin, affiner votre stratégie et multiplier vos sources d’inspiration, voici dix livres qui vous aideront à passer de la théorie à l’action et à tracer votre propre route vers la liberté financière.
1. La psychologie de l’argent (Morgan Housel, 2020)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
Dans « La psychologie de l’argent », Morgan Housel présente dix-huit leçons qui éclairent la manière dont nos expériences, nos émotions et nos croyances influencent notre rapport à l’argent. À travers des histoires vraies – comme celle d’un mécanicien modeste devenu millionnaire ou d’un dirigeant de Wall Street ruiné – l’auteur montre que la réussite financière ne dépend pas seulement de connaissances techniques, mais surtout d’attitudes et de comportements. Il insiste sur l’importance de la patience, de l’épargne, de la gestion du risque et de la capacité à rester maître de son temps, plutôt que de se laisser happer par la quête sans fin de “plus”.
Quiconque a aimé « Père riche, père pauvre » retrouvera ici un point commun clé : l’idée que la liberté financière vient avant tout d’un état d’esprit. Là où Robert Kiyosaki insiste sur l’éducation financière et la compréhension des flux d’actifs et de passifs, Morgan Housel s’attache à la dimension humaine et psychologique qui conditionne nos choix. Les deux approches se complètent : Kiyosaki fournit la grille d’analyse pour identifier les bons investissements, Housel donne les clés pour ne pas saboter ces efforts par peur, excès de confiance ou besoin constant d’accumuler.
En lisant Housel après Kiyosaki, on passe de la stratégie à la maîtrise intérieure. L’un apprend à bâtir et faire fructifier son patrimoine ; l’autre aide à le conserver et à l’utiliser pour atteindre ce que l’auteur considère comme la plus grande “dividende” de l’argent : le contrôle de son temps et de ses décisions. Ce prolongement permet de consolider les bases posées par « Père riche, père pauvre » et de mieux comprendre pourquoi, dans la pratique, certains échouent malgré de bonnes connaissances financières, tandis que d’autres, avec des moyens modestes, assurent leur prospérité sur le long terme.
Aux éditions VALOR ; 291 pages.
2. Inébranlable (Tony Robbins, 2017)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« Inébranlable » de Tony Robbins s’adresse à celles et ceux qui veulent comprendre comment construire et protéger leur liberté financière, même dans un contexte économique incertain. Tony Robbins y partage les enseignements recueillis auprès de grands investisseurs et propose une série de principes simples : éviter les frais excessifs, investir sur le long terme dans des fonds indiciels à faible coût, diversifier intelligemment ses placements, adopter une attitude lucide face aux fluctuations du marché. Il insiste aussi sur l’importance de la psychologie dans les décisions financières : savoir rester calme pendant les périodes de baisse et reconnaître les opportunités que ces moments peuvent offrir.
Si « Père riche, père pauvre » met surtout l’accent sur le changement de mentalité pour passer d’un état d’esprit de salarié à celui d’investisseur et de bâtisseur de patrimoine, « Inébranlable » apporte des outils concrets pour gérer et faire fructifier ce patrimoine une fois qu’on a adopté cette nouvelle vision. Là où Kiyosaki pousse le lecteur à sortir du schéma traditionnel du travail salarié et à comprendre la différence entre actifs et passifs, Robbins explique comment structurer ses investissements pour qu’ils résistent aux crises et continuent de croître.
Pour un lecteur ayant apprécié Kiyosaki, ce livre prolonge la réflexion : il ne s’agit plus seulement de vouloir devenir indépendant financièrement, mais de savoir comment préserver cette indépendance face aux cycles économiques et aux pièges des marchés. Robbins insiste aussi sur des notions que Kiyosaki évoque moins, comme la vigilance face aux conseils biaisés de certains conseillers financiers, ou encore l’intérêt de se protéger des biais émotionnels qui font prendre de mauvaises décisions. En ce sens, « Inébranlable » complète parfaitement « Père riche, père pauvre » : l’un prépare l’état d’esprit, l’autre fournit les garde-fous et les stratégies pour que cet état d’esprit se traduise en résultats durables.
Aux éditions UN MONDE DIFFÉRENT ; 287 pages.
3. L’autoroute du millionnaire (M. J. DeMarco, 2010)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« L’autoroute du millionnaire » de M. J. DeMarco part d’un constat simple : attendre quarante ans pour profiter de son argent n’a aucun sens. L’auteur y oppose trois trajectoires possibles : le trottoir, où l’on vit au jour le jour ; la voie lente, où l’on travaille et économise patiemment ; et la voie rapide, où l’on construit un actif capable d’impacter un grand nombre de personnes et de générer des revenus massifs, indépendants de son temps de travail. DeMarco illustre ses principes par son propre parcours, depuis ses débuts modestes jusqu’à la création et la revente d’une entreprise à fort potentiel, en insistant sur le fait que « s’enrichir vite » ne veut pas dire « sans effort ».
Là où Robert Kiyosaki insiste sur la différence entre travailler pour de l’argent et faire travailler l’argent pour soi, DeMarco met l’accent sur la création de valeur à grande échelle comme accélérateur de richesse. Tous deux dénoncent le schéma traditionnel — études, emploi, épargne lente — mais DeMarco pousse le lecteur à agir plus tôt et à viser un résultat mesurable en années, pas en décennies. Il propose un cadre concret, le modèle CENTS, qui aide à évaluer si une idée d’entreprise a le potentiel d’offrir la liberté recherchée.
Là où Kiyosaki invite à changer son état d’esprit vis-à-vis de l’argent, DeMarco invite aussi à évaluer froidement les opportunités, à s’intéresser aux besoins non satisfaits et à concevoir un système capable de fonctionner sans dépendre de sa présence quotidienne. Une lecture qui complète et dynamise les concepts de « Père riche, père pauvre » pour celles et ceux qui veulent passer rapidement de la théorie à une stratégie d’action ambitieuse.
Aux éditions CONTRE-DIRES ; 501 pages.
4. Devenez riche (Ramit Sethi, 2009)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« Devenez riche » de Ramit Sethi s’articule autour d’un programme en six semaines qui apprend à structurer ses finances pour épargner, investir et dépenser avec discernement. Il y propose une méthode progressive : assainir ses comptes, choisir les bons outils bancaires, mettre en place un système automatisé, investir simplement et gérer ses dépenses de façon à préserver ses priorités. L’approche repose sur des actions concrètes, réalisables immédiatement, sans jargon technique ni promesse irréaliste. L’idée centrale est que chacun peut reprendre le contrôle de son argent en appliquant quelques principes simples avec constance.
Comme Kiyosaki, Ramit Sethi insiste sur l’importance de se former à la gestion financière et de comprendre que l’argent est un outil de liberté plutôt qu’une fin en soi. Là où Kiyosaki met l’accent sur la différence entre actifs et passifs et sur la nécessité de développer des revenus issus d’investissements, Sethi propose un mode d’emploi précis pour passer de la théorie à la pratique. Son plan en six semaines fournit un cadre concret pour mettre en place ce que Kiyosaki appelle « faire travailler l’argent pour soi » : automatiser ses investissements, canaliser ses dépenses vers ce qui compte vraiment, réduire tout ce qui ne contribue pas à ses objectifs.
La dimension pragmatique de « Devenez riche » complète bien la vision plus conceptuelle de « Père riche, père pauvre ». On retrouve la même idée que l’indépendance financière se construit par des choix quotidiens cohérents, mais avec ici une feuille de route détaillée pour agir dès maintenant, même avec des moyens limités. Là où Kiyosaki cherche à changer la façon de penser, Sethi fournit les leviers opérationnels pour traduire ce changement d’état d’esprit en résultats mesurables. Cette complémentarité en fait une suite naturelle du livre de Kiyosaki.
Aux éditions ALISIO ; 460 pages.
5. La semaine de 4 heures (Timothy Ferriss, 2007)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« La semaine de 4 heures » de Timothy Ferriss raconte comment l’auteur réinvente sa vie professionnelle pour ne travailler que quelques heures par semaine tout en dégageant des revenus confortables. Il y parvient en identifiant les tâches les plus rentables, en supprimant le superflu, en externalisant tout ce qui peut l’être, en structurant ses journées pour se concentrer sur ce qui compte vraiment. Ferriss présente la méthode « DEAL » — Définition, Élimination, Automatisation, Libération — et illustre ses principes par son propre parcours, ainsi que par des témoignages de lecteurs ayant transformé leur quotidien. L’ouvrage met aussi en avant l’idée des « mini-retraites », prises régulièrement au cours de la vie, au lieu d’attendre la retraite traditionnelle.
Si « Père riche, père pauvre » met l’accent sur l’importance de l’éducation financière, de l’investissement et de la création d’actifs pour sortir du cycle du salariat, « La semaine de 4 heures » pousse la réflexion plus loin sur l’usage du temps. Les deux livres partagent l’idée que l’indépendance financière n’est pas une question de chance mais de stratégie, et que la liberté vient d’un changement de mentalité. Là où Kiyosaki insiste sur l’acquisition d’actifs qui génèrent des revenus, Ferriss montre comment libérer du temps en allégeant le travail opérationnel et en construisant une activité qui fonctionne presque sans votre intervention.
Si la remise en question des schémas classiques proposée par « Père riche, père pauvre » vous a interpellé, ce livre apporte des pistes concrètes pour mettre en pratique cette autonomie au quotidien : négocier plus de liberté dans son emploi, mettre en place un système qui tourne seul, réorganiser ses priorités pour vivre selon ses propres règles. C’est un prolongement naturel pour qui veut passer de la théorie de l’indépendance financière à une application pratique centrée sur la liberté de temps.
Aux éditions PEARSON ; 320 pages.
6. Les secrets d’un esprit millionnaire (T. Harv Eker, 1999)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« Les secrets d’un esprit millionnaire » de T. Harv Eker part d’une idée simple : chacun possède un “plan financier intérieur” façonné par son éducation, ses expériences et ses croyances. Ce plan influence directement sa capacité à créer, conserver ou perdre de l’argent. Eker montre que, même avec des compétences techniques solides, une personne qui n’a pas reprogrammé ce schéma mental risque de plafonner financièrement ou de dilapider un gain inattendu. Le livre est structuré autour de dix-sept “fichiers de richesse” qui décrivent comment la façon de penser et d’agir des millionnaires diffère de celle des classes moyenne et populaire. Chaque chapitre associe une idée clé, un engagement à prononcer et des actions concrètes à mettre en œuvre, allant de la gestion de l’argent à la manière de se fixer des objectifs ambitieux.
Ce livre prolonge l’idée centrale selon laquelle la liberté financière naît d’un état d’esprit et non d’un salaire élevé. Comme Robert Kiyosaki, Eker oppose deux visions : celle de ceux qui voient la vie comme quelque chose qu’ils subissent, et celle de ceux qui se considèrent responsables de leurs résultats. Les deux insistent sur l’importance d’investir, de développer des sources de revenus passifs et de se former continuellement. Mais Eker met davantage l’accent sur le conditionnement psychologique : il invite à identifier les croyances héritées de l’enfance (“l’argent est sale”, “les riches sont cupides”) pour les remplacer par des convictions qui favorisent l’abondance.
Ce livre intéressera celles et ceux qui, après « Père riche, père pauvre », veulent passer de la prise de conscience à un travail plus intime sur leurs habitudes mentales. Les conseils, parfois provocateurs, poussent à élargir ses ambitions, à chercher activement les opportunités, à s’entourer de personnes qui réussissent et à gérer son argent de façon rigoureuse, même avec de petites sommes. Là où Kiyosaki insiste sur l’éducation financière et les leviers économiques, Eker fournit une méthode pour ajuster le “thermostat intérieur” qui détermine combien on se sent capable de gagner et de garder. Ensemble, ces deux lectures forment un duo cohérent : l’une trace la carte, l’autre règle le moteur.
Aux éditions TRÉSOR CACHÉ ; 222 pages.
7. Le quadrant du cashflow (Robert T. Kiyosaki, Sharon L. Lechter, 1999)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« Le quadrant du cashflow » prolonge directement les enseignements de « Père riche, père pauvre » et en développe les concepts. Robert T. Kiyosaki et Sharon L. Lechter y décrivent quatre manières de générer des revenus : en tant qu’employé (E), travailleur indépendant (S), propriétaire d’entreprise (B) ou investisseur (I). Les deux premiers profils échangent leur temps contre de l’argent, tandis que les deux derniers construisent ou acquièrent des systèmes et des actifs capables de produire un flux régulier de revenus, indépendamment du temps investi. Kiyosaki explique les caractéristiques, les avantages et les limites de chaque position dans ce “quadrant” et montre comment passer d’un côté à l’autre, notamment de la sécurité apparente du salariat vers la liberté et l’effet de levier que procurent l’entrepreneuriat et l’investissement.
Ce livre agit comme une carte plus précise pour passer de la prise de conscience à l’action. Là où « Père riche, père pauvre » oppose deux visions de l’argent et met l’accent sur l’état d’esprit, « Le quadrant du cashflow » pousse à analyser sa situation actuelle et à envisager un chemin concret vers plus d’autonomie financière. Il apporte un cadre visuel simple qui aide à comprendre pourquoi certains travaillent de plus en plus pour maintenir leur niveau de vie, alors que d’autres, souvent dans les quadrants B et I, parviennent à accroître leurs revenus tout en gagnant du temps libre.
On y trouve aussi des distinctions essentielles — par exemple, la différence entre “posséder un emploi” et “posséder un système” — qui peuvent transformer la façon dont on pense ses projets professionnels et ses investissements. Si « Père riche, père pauvre » donne envie de changer sa relation à l’argent, « Le quadrant du cashflow » montre comment organiser sa stratégie pour que ce changement devienne réalité.
Aux éditions UN MONDE DIFFERÉNT ; 280 pages.
8. L’investisseur intelligent (Benjamin Graham, 1949)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« L’investisseur intelligent » de Benjamin Graham est considéré comme un texte fondateur de l’investissement axé sur la valeur. Publié pour la première fois en 1949, il expose des principes destinés à guider l’épargnant dans la constitution et la gestion d’un portefeuille boursier. Graham y explique notamment la différence entre deux profils : l’investisseur défensif, prudent et orienté vers la préservation du capital, et l’investisseur entreprenant, plus actif et prêt à analyser en profondeur les entreprises pour identifier celles dont le prix de marché est inférieur à leur valeur réelle. Graham y développe des notions clés comme la « marge de sécurité » ou encore l’allégorie de « Mr. Market », qui illustre les fluctuations parfois irrationnelles des cours et invite à se concentrer sur la valeur intrinsèque des titres plutôt que sur leurs variations quotidiennes.
Ce livre présente une continuité naturelle à « Père riche, père pauvre », mais dans un registre plus technique et centré sur l’investissement boursier. Là où Kiyosaki insiste sur l’importance de l’éducation financière et sur la différence entre actifs et passifs, Graham fournit un cadre précis pour évaluer et sélectionner des actifs cotés. On retrouve chez les deux auteurs la même volonté d’encourager la discipline, la réflexion à long terme et l’indépendance d’esprit face aux comportements de masse.
« Père riche, père pauvre » met l’accent sur l’état d’esprit de l’investisseur et sur la nécessité de faire travailler l’argent pour soi ; « L’investisseur intelligent » montre comment appliquer ces principes sur les marchés, en privilégiant les choix rationnels et mesurés plutôt que la spéculation rapide. En combinant la vision stratégique de Kiyosaki et la méthode rigoureuse de Graham, on dispose d’une base solide pour développer une approche durable et maîtrisée de l’investissement.
Aux éditions VALOR ; 488 pages.
9. Réfléchissez et devenez riche (Napoleon Hill, 1937)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« Réfléchissez et devenez riche » de Napoleon Hill synthétise plus de vingt années d’entretiens avec cinq cents personnalités qui ont bâti leur fortune à partir de rien. Inspiré par Andrew Carnegie, Hill dégage treize principes qu’il considère comme essentiels pour atteindre ses objectifs : un désir clair et brûlant, la foi en ses capacités, l’autosuggestion, un plan concret, la persistance, l’art de s’entourer, ou encore la capacité à canaliser ses énergies vers ses ambitions. Le livre alterne conseils, récits de réussite et exercices destinés à ancrer ces idées dans l’esprit du lecteur.
Si « Père riche, père pauvre » vous a parlé, cet ouvrage peut prolonger la réflexion en apportant une dimension plus méthodique à la notion de réussite financière. Là où Robert Kiyosaki insiste sur la différence d’état d’esprit entre ceux qui travaillent pour l’argent et ceux qui font travailler l’argent pour eux, Hill met l’accent sur la discipline mentale et la clarté des objectifs. Les deux partagent l’idée que la prospérité commence dans la tête, avant de se traduire par des actions concrètes.
« Réfléchissez et devenez riche » va plus loin dans la structuration d’un plan personnel et dans la gestion des obstacles psychologiques, notamment les peurs et le doute. Pour quiconque souhaite passer de la prise de conscience (comprendre comment pensent les investisseurs et entrepreneurs, comme chez Kiyosaki) à la mise en place d’un plan d’action précis, le livre de Hill peut servir de guide complémentaire, exigeant mais stimulant, pour transformer une envie en résultats tangibles.
Aux éditions J’AI LU ; 224 pages.
10. L’homme le plus riche de Babylone (George Samuel Clason, 1926)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
« L’homme le plus riche de Babylone » de George S. Clason raconte, à travers une série de paraboles situées dans la Babylone antique, comment des personnages passent de la pauvreté à la prospérité en appliquant des règles simples de gestion de l’argent. On y suit notamment Arkad, considéré comme l’homme le plus prospère de la ville, qui partage ses conseils à des amis et connaissances. Les récits exposent des principes tels que mettre de côté au moins 10 % de ses revenus, éviter les dépenses inutiles, investir dans des domaines que l’on comprend, ou encore faire travailler son argent pour qu’il produise des gains supplémentaires. Chaque histoire illustre une règle ou une “loi de l’or” que le lecteur peut facilement transposer à sa propre vie.
Ce livre transmet, comme Kiyosaki, l’idée que la liberté financière repose avant tout sur l’éducation et la discipline. Les deux ouvrages insistent sur la nécessité de “se payer en premier” et de développer ses compétences pour augmenter ses revenus. La différence se situe dans la forme : là où « Père riche, père pauvre » alterne anecdotes personnelles et concepts contemporains, « L’homme le plus riche de Babylone » utilise le cadre historique et le langage du conte pour frapper l’imagination. Cette approche rend les conseils plus mémorables et donne l’impression que ces règles sont intemporelles.
On retrouve ici la même logique : construire sa sécurité financière par des choix réfléchis, éviter les pièges des dépenses excessives et chercher des placements sûrs. Les bases d’une bonne gestion de l’argent ne changent pas avec les siècles, elles demandent surtout de la constance et un esprit prêt à saisir les occasions au bon moment.
Aux éditions UN MONDE DIFFÉRENT ; 188 pages.