Vous avez dévoré « Credence » de Penelope Douglas, incapable de reposer le livre avant la dernière page ? Entre tension brûlante, amours interdites et émotions à fleur de peau, il a laissé un vide que vous rêvez déjà de combler ? Bonne nouvelle : voici quelques idées de lecture qui feront battre votre cœur tout aussi fort… voire plus encore !
1. Birthday Girl (Penelope Douglas, 2018)
Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac
Dans « Birthday Girl », Jordan, 19 ans, vit en colocation avec son petit ami, Cole. Le jour de son anniversaire, elle croise par hasard Pike, un homme avec qui le feeling passe immédiatement. Ce qu’elle ignore encore, c’est que Pike n’est autre que le père de Cole. Lorsque le jeune couple se retrouve sans logement, ils s’installent chez lui. Peu à peu, l’attirance entre Jordan et Pike grandit, malgré leur différence d’âge et la situation complexe. Tous deux tentent de résister, mais la proximité et les liens qui se créent rendent cette retenue de plus en plus fragile.
La plume de Penelope Douglas se reconnaît dans cette romance interdite qu’elle développe avec lenteur et intensité. Le lien entre les deux protagonistes se tisse à travers des échanges authentiques, une profonde connexion émotionnelle et une tension qui ne se limite pas à l’aspect physique. Comme dans « Credence », la différence d’âge et les liens familiaux apportent un contexte où chaque geste devient plus audacieux, plus chargé en émotions.
L’autrice donne également beaucoup de profondeur à ses personnages : Jordan, jeune mais forgée par une vie instable, possède une maturité qui la rend crédible face à Pike, un homme posé, protecteur, mais en quête de quelque chose de plus intime. Cette alchimie entre vulnérabilité et force, entre interdit et tendresse, offre une lecture captivante et addictive, particulièrement pour celles et ceux qui ont apprécié l’atmosphère de « Credence ».
Auto-édition ; 508 pages.
2. Lies (T. M. Frazier, 2018)
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Dans « Lies » de T. M. Frazier, on suit Grim, chef impitoyable d’un gang craint de tous, et Tricks, une jeune femme marquée à jamais par une enfance volée. Leur première rencontre, à l’adolescence, laisse une trace indélébile, mais le destin les sépare brutalement. Des années plus tard, le hasard les remet face à face… mais cette fois, ils se trouvent dans des camps ennemis, au cœur d’une guerre de gangs. Leur lien n’a pas faibli, leur désir non plus, pourtant chaque rapprochement menace de plonger leur monde dans la violence. Entre loyautés déchirées, danger omniprésent et sentiments indestructibles, leur histoire se joue dans un univers où aimer peut coûter la vie.
Si « Credence » vous a captivé par ses relations complexes et ses tensions émotionnelles intenses, « Lies » pourrait vous séduire pour les mêmes raisons. Ici aussi, un couple se bat contre un environnement hostile qui met leur amour à rude épreuve. L’interdit plane en permanence, et chaque choix entraîne des conséquences immédiates et souvent sanglantes. Grim et Tricks fascinent autant par leur force que par leurs blessures : lui, protecteur et implacable ; elle, vive d’esprit et farouchement loyale malgré les cicatrices du passé.
La narration alterne entre scènes d’action et instants d’intimité brute, créant un rythme soutenu qui maintient la tension jusqu’à la dernière page. Une romance sombre et électrique, où l’attirance se mêle à la menace, et qui, comme « Credence », met en lumière deux personnages prêts à tout pour protéger ce qui compte vraiment.
Aux éditions ALTER REAL ; 237 pages.
3. Hate to Love (Penelope Douglas, 2016)
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Dans « Hate to Love », Ryen et Misha échangent des lettres passionnées depuis leur enfance. Pendant sept ans, ils s’écrivent sans jamais se rencontrer, partageant secrets, douleurs et pensées profondes, avec une règle unique : ne jamais franchir la frontière entre leurs mots et la réalité. Jusqu’au soir où, lors d’une fête, Misha la reconnaît. Elle, en revanche, ignore totalement qui il est. Derrière l’image de lycéenne populaire et arrogante qu’elle affiche, se cache une personne bien différente de celle que Misha avait idéalisée. Décidé à comprendre ce décalage, il s’immisce dans sa vie sous une autre identité.
Ce roman plaira sans doute à celles et ceux qui ont aimé « Credence », et pour cause : on y retrouve la signature de Penelope Douglas — une tension permanente entre les personnages, un mélange de désir et de défi, des liens forgés dans la complexité. L’histoire joue sur les contrastes : l’image que l’on projette contre la personne que l’on est vraiment, le besoin de se sentir accepté face à la peur de trahir ses propres valeurs. Derrière sa façade hautaine, Ryen cache une crainte viscérale d’être rejetée ; Misha, plus sombre et imprévisible, cherche à percer cette carapace. Leurs interactions passent de joutes verbales mordantes à des rapprochements brûlants, créant une intensité qui rend le livre impossible à lâcher.
« Hate to Love » aborde aussi des thématiques qui font écho à « Credence » : les rapports de force dans les relations, la lutte contre ses propres zones d’ombre, et cette question essentielle — peut-on aimer quelqu’un dans toute sa vérité, avec ses parts lumineuses et ses failles ? Ici, la romance ne gomme pas les aspérités ; au contraire, elle naît souvent de la confrontation, qui devient parfois la voie vers une véritable intimité.
Aux éditions HARPERCOLLINS ; 450 pages.
4. Sinners (L. J. Shen, 2016)
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Dans « Sinners » de L. J. Shen, on découvre Emilia, une jeune femme au tempérament affirmé, mais marquée par les cicatrices d’une adolescence difficile. Dix ans plus tôt, elle a subi les humiliations de Baron Spencer — surnommé Vicious — le fils richissime et impitoyable des employeurs de ses parents. Aujourd’hui serveuse à New York, elle lutte pour subvenir aux besoins de sa sœur malade, jusqu’au jour où Vicious refait surface, bien décidé à l’entraîner dans un jeu dangereux, entre rancune, attraction et vengeance. Entre eux, la limite entre haine et désir est ténue, presque imperceptible, et aucun ne semble prêt à plier.
On retrouve ici la même intensité brute qui lie les personnages : une attirance impossible à ignorer, nourrie par des rapports de force permanents. Comme chez Penelope Douglas, l’intrigue repose sur cette ambiguïté des sentiments, où l’attirance se nourrit parfois des conflits et des blessures passées. La narration alterne entre passé et présent, offrant une meilleure compréhension des motivations profondes et des fragilités des protagonistes.
Vicious, anti-héros à la fois charismatique et torturé, incarne un mélange de danger et de vulnérabilité qui fascine autant qu’il déstabilise. Emilia, quant à elle, impose une force calme et une détermination à toute épreuve, digne des héroïnes capables de tenir tête aux personnalités les plus écrasantes. Le récit, rythmé et percutant, s’appuie sur des dialogues vifs et une tension émotionnelle constante, idéale pour prolonger l’adrénaline ressentie dans « Credence ».
Aux éditions HARPERCOLLINS ; 396 pages.
5. The Deal (Elle Kennedy, 2015)
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Dans « The Deal », on suit Hannah, étudiante appliquée et passionnée de chant, qui croise la route de Garrett, capitaine de l’équipe de hockey de leur université. Garrett risque de perdre sa place dans l’équipe à cause de notes insuffisantes, tandis que Hannah aimerait attirer l’attention d’un autre garçon. Ils passent alors un marché : elle l’aide à améliorer sa moyenne, et lui lui apprend à gagner confiance en elle pour séduire celui qui lui plaît. Mais au fil de leurs échanges, leur arrangement prend une direction inattendue.
Si vous avez apprécié « Credence » de Penelope Douglas, « The Deal » devrait vous plaire grâce à son mélange de tension émotionnelle et de rapprochement progressif entre deux personnages que tout oppose. Ici aussi, la romance se tisse peu à peu, loin des coups de foudre instantanés, laissant place à des dialogues percutants et des scènes pleines d’humour.
L’histoire aborde également des thématiques plus sombres — traumatismes, familles compliquées — sans tomber dans l’excès dramatique, ce qui donne une profondeur supplémentaire aux personnages. Garrett se dévoile protecteur et respectueux, bien loin du stéréotype du sportif imbu de lui-même, tandis qu’Hannah, marquée par son passé, avance avec détermination et légèreté. Une romance sur fond de vie universitaire, à la fois pétillante et touchante, parfaite pour se faire plaisir.
Aux éditions HUGO ROMAN ; 418 pages.
6. Dark Romance (Penelope Douglas, 2015)
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Dans « Dark Romance », Penelope Douglas met en scène Rika, une jeune femme de dix-neuf ans issue d’un milieu aisé, qui cherche à se libérer du carcan familial et de Trevor, son ex trop possessif. Depuis toujours, elle est attirée par Michael Crist, le frère aîné de Trevor, charismatique et dangereux, chef d’une bande surnommée les Cavaliers. Michael l’a longtemps ignorée, mais lorsqu’il commence à s’intéresser à elle, Rika se retrouve entraînée dans un jeu où désir, vengeance et peur s’entremêlent, sur fond d’événements troubles survenus trois ans plus tôt lors de la Nuit du Diable.
Ce roman a de solides atouts pour quiconque a adoré « Credence ». On retrouve la patte de Penelope Douglas : une tension permanente entre deux personnages que tout devrait séparer, un décor fermé où les règles sont dictées par un petit cercle, des rapports de force qui évoluent au fil des pages. Le duo central, Michael et Rika, partage une intensité similaire à celle des relations dans « Credence » : sentiments ambigus, attirance irrépressible, mise à l’épreuve constante.
L’autrice joue aussi sur la structure du récit en alternant passé et présent, ce qui entretient le suspense et donne de l’épaisseur aux personnages. Enfin, l’ambiance sombre, marquée par des enjeux psychologiques, des alliances fragiles et une attirance qui flirte avec le danger, crée cette même atmosphère trouble qui rend la lecture difficile à interrompre.
Aux éditions HARPERCOLLINS ; 480 pages.
7. Step brother (Penelope Ward, 2014)
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Greta voit sa vie bouleversée lorsque le fils de son beau-père, Elec, vient habiter chez elle. Elle imagine une simple cohabitation, mais il se montre arrogant et provocateur. Malgré tout, une attirance s’installe, et une nuit marque un tournant dans leur relation avant qu’Elec disparaisse. Sept ans plus tard, un drame les réunit et ravive des sentiments qu’ils pensaient enfouis.
On retrouve dans « Step brother » de Penelope Ward une tension émotionnelle intense entre deux personnages liés par une situation familiale atypique, avec ce mélange de proximité forcée et d’attirance qui bouscule les limites. La construction en deux temps — adolescence puis retrouvailles à l’âge adulte — donne à l’histoire une profondeur supplémentaire, en montrant l’évolution des personnages et le poids du passé sur leurs choix présents.
Elec, sous ses airs de bad boy, cache des blessures qui donnent à sa relation avec Greta une intensité particulière. Quant à Greta, son entêtement à percer la carapace d’Elec et à croire en lui malgré les obstacles apporte une dimension touchante et combative à leur histoire. L’ensemble crée une romance tendue, parfois conflictuelle, où les sentiments se heurtent aux interdits, ce qui rappelle les dynamiques qui font la force de « Credence ».
Aux éditions HUGO POCHE ; 360 pages.
8. Hades Hangmen (Tillie Cole, 2014)
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River Styx Nash est à la tête d’un gang de bikers redouté. Affublé d’un trouble d’élocution, il impose son autorité par la force et garde pour règle de ne jamais s’attacher. Cette ligne de conduite vacille lorsqu’il retrouve Salomé, une jeune femme qu’il a connue enfant et qui vient de fuir une secte religieuse où elle a subi les pires sévices. Blessée, démunie et totalement étrangère au monde extérieur, elle trouve refuge au sein du club, dans un univers qui ne pourrait pas être plus éloigné de celui qu’elle a connu.
Si « Credence » vous a plu, « Hades Hangmen » pourrait vous accrocher par cette tension entre attirance et survie. Ici aussi, le récit confronte deux mondes que tout oppose : l’isolement et l’endoctrinement d’un côté, la vie rude et codée d’une communauté marginale de l’autre.
L’histoire ne se limite toutefois pas à une romance : elle met en jeu la reconstruction après un passé oppressant, la découverte de sentiments dans un environnement hostile et des personnages secondaires qui ajoutent de l’ampleur à l’intrigue. Styx, avec sa force brute et ses failles bien visibles, et Mae, partagée entre craintes et volonté de s’émanciper, composent un duo qui rappelle le mélange d’ombre et de lumière qui faisaient la force de « Credence ».
Aux éditions HAUTEVILLE ; 480 pages.
9. Prisonnier (Skye Warren, Annika Martin, 2014)
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Abby, étudiante en littérature, accepte à contre-cœur de dispenser un cours d’écriture dans un centre de détention. C’est là qu’elle croise Grayson, détenu au physique impressionnant et à l’aura difficile à ignorer. Derrière son calme en façade, il dissimule une histoire marquée par la violence et l’injustice. Leur lien, d’abord teinté de suspicion et de curiosité, se transforme brutalement le jour où Grayson met son plan d’évasion à exécution et l’emmène avec lui. Commence alors une fuite où la peur se mêle à un attrait difficile à réprimer, brouillant les rôles entre proie et partenaire malgré elle.
« Prisonnier » de Skye Warren et Annika Martin a de quoi séduire. On y retrouve cette intensité née d’un huis clos qui force la proximité, et où chaque geste devient lourd de sens. Les deux protagonistes portent des blessures anciennes, ce qui donne à leurs échanges une charge émotionnelle imprévisible : la méfiance se heurte au désir, et la douceur finit par surgir au milieu de rapports de force.
Grayson, figure d’anti-héros façonné par la souffrance, alterne entre menace assumée et instinct protecteur, tandis qu’Abby, derrière son apparente réserve, révèle un tempérament bien plus solide qu’il n’y paraît. Le récit joue constamment avec la contradiction des sentiments — rejet et attirance, colère et besoin — et maintient un climat tendu, autant dans les émotions que dans l’action. Comme « Credence », il captive par cette manière de brouiller les repères et de maintenir le lecteur suspendu à chaque interaction.
Aux éditions GREY EAGLE ; 452 pages.
10. Sweet Home (Tillie Cole, 2013)
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Sous le soleil écrasant de l’Alabama, Molly Shakespeare, étudiante britannique au passé douloureux, tente de se reconstruire loin de l’Angleterre. Assistante en philosophie à l’université, elle croise la route de Roméo Prince, star du football américain et héritier d’une famille influente. Tout les oppose : elle, réservée et attachée à ses principes ; lui, solaire mais marqué par des blessures familiales profondes. Leur rencontre provoque une attraction immédiate, un lien aussi irrésistible que semé d’embûches, où secrets, loyautés et sentiments s’entremêlent. Autour d’eux gravitent des amis hauts en couleur et des rivaux prêts à attiser les tensions.
Si vous avez dévoré « Credence », « Sweet Home » promet une intensité émotionnelle et une tension relationnelle comparables. Comme chez Penelope Douglas, on retrouve un duo central cabossé, contraint de naviguer entre désir, vulnérabilité et obstacles imposés par leur entourage. La romance entrelace passion brute et moments de tendresse, avec un cadre dépaysant qui oppose la chaleur étouffante du Sud américain à la froideur des non-dits familiaux. Cette alternance entre confrontation et rapprochement, sentiments contrariés et éclats de sincérité, crée une dynamique imprévisible qui devrait séduire celles et ceux qui ont apprécié la charge émotionnelle et les jeux de pouvoir dans « Credence ».
Aux éditions MILADY ; 384 pages.
11. Marked men (Jay Crownover, 2012)
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Dans « Marked Men » de Jay Crownover, Shaw Landon et Rule Archer se connaissent depuis l’adolescence, liés par la figure absente de Rémy, le frère jumeau de Rule et meilleur ami de Shaw. Délaissée par des parents préoccupés uniquement par les apparences, Shaw a trouvé refuge dans la famille Archer. Tout oppose pourtant les deux jeunes gens : elle, étudiante en médecine au style impeccable ; lui, tatoueur rebelle, percé et allergique aux attaches. Depuis des années, Shaw aime Rule en secret, tandis que lui ne la voit que comme « la fille de bonne famille » qu’il accompagne malgré lui aux repas dominicaux. Un soir, une étincelle change leur regard l’un sur l’autre et les entraîne dans une relation à la fois fiévreuse et semée d’embûches, rythmée par les tensions familiales, les secrets enfouis et un passé qui continue de peser.
Ce bouquin est intéressant par sa façon de conjuguer romance intense et dynamiques familiales complexes. Comme dans « Credence », on y retrouve des liens marqués par la perte, des personnages cabossés qui se construisent en marge, et un duo central que tout semble séparer mais que l’attirance rend inévitable. L’ambiance est dense, parfois âpre : univers tatouage et métal, relations conflictuelles avec les parents, poids des non-dits.
La tension entre Shaw et Rule mêle désir, défiance et soutien mutuel, offrant une évolution relationnelle crédible et émotionnellement chargée. On retrouve cette même sensation de huis clos affectif où les personnalités s’entrechoquent et se révèlent, avec un ton franc, sans fioritures inutiles, qui garde le lecteur accroché jusqu’à la dernière page.
Aux éditions HUGO POCHE ; 475 pages.
12. Dévoile-moi (Sylvia Day, 2012)
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Eva Tramell entame un nouveau chapitre de sa vie professionnelle dans une agence de publicité new-yorkaise, située dans l’imposant immeuble Crossfire. Dès sa première rencontre avec Gideon Cross, un homme d’affaires aussi séduisant que fortuné, une alchimie puissante et immédiate se crée entre eux. Tous deux portent les stigmates d’un passé douloureux qui les rend à la fois méfiants et profondément attirés l’un par l’autre. Leur relation, marquée par une tension constante entre désir et vulnérabilité, oscille entre affrontements, passion brute et quête de guérison.
Dans « Dévoile-moi », cette intensité émotionnelle est au cœur des interactions, rendant chaque échange chargé de non-dits et de doutes. Eva et Gideon, tout comme les héros de « Credence », sont des personnages complexes, tourmentés, dont les failles nourrissent l’histoire. Le récit explore les rapports de force entre eux : des jeux de domination, des moments de capitulation, puis des reprises de contrôle, dans une dynamique aussi troublante que captivante.
Au-delà de la romance sensuelle, le roman creuse la dimension psychologique de leur lien : leurs blessures passées influencent profondément leur manière d’aimer et de réagir. C’est précisément cette combinaison entre intensité charnelle, luttes émotionnelles et secrets profondément enfouis qui captera l’attention de lectrices en quête de récits puissants, incarnés par des personnages à la fois brisés et terriblement humains.
Aux éditions J’AI LU ; 405 pages.