En quatrième, l’italien n’est plus une simple initiation : l’élève poursuit sa langue vivante 2 (LV2) avec l’objectif de s’approcher du niveau A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) en compréhension et en expression, à l’oral comme à l’écrit. Le programme de collège organise les apprentissages autour de tâches concrètes et de grands axes culturels : sport et société, voyages, villes et quartiers, innovation, langages artistiques ou encore la découverte de Florence.
Pour réussir, un élève de 4ᵉ doit savoir comprendre des documents courts (dialogues, textes, petites vidéos), écrire des messages simples mais corrects, parler de son quotidien et de quelques thèmes culturels en mobilisant un lexique de plus en plus précis. Les contrôles portent souvent sur la conjugaison (présent, futur proche, passato prossimo), les accords, les pronoms compléments et les prépositions, autant de points qui font rapidement baisser la moyenne lorsque les bases sont fragiles.
Les ouvrages ci-dessous ont été choisis parce qu’ils collent au niveau collège. Ils permettent de consolider la grammaire, d’enrichir le vocabulaire, de s’entraîner à l’oral et de gagner en confiance. Utilisés avec régularité, ils peuvent vraiment faire remonter une moyenne d’italien de plusieurs points, surtout s’ils sont articulés avec le travail demandé par l’enseignant.
1. Pour comprendre – Italien 5e-4e-3e LV2 (Hachette Éducation, 2023)

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Ce cahier tout-en-un s’adresse à tout le cycle 4, mais il convient particulièrement aux élèves de 4ᵉ qui ont besoin de reprendre les bases tout en avançant vers les exigences de la 3ᵉ. Chaque notion (temps du verbe, adjectifs, phrases interrogatives, etc.) fait l’objet d’une fiche claire sur une ou deux pages. Le cours est réexpliqué en français, avec de nombreux exemples en italien toujours traduits, ce qui rassure les élèves qui manquent encore d’aisance.
La partie « exercices » est abondante : plus de 180 activités progressives, du niveau très guidé (choisir la bonne forme, compléter des phrases) à la production plus libre (rédiger un court texte, transformer des phrases). Chaque fiche rassemble aussi le vocabulaire de base utilisé dans la leçon, avec sa traduction. Cela permet à l’élève de réviser en même temps la grammaire et le lexique sans avoir à jongler entre plusieurs livres.
Au centre de l’ouvrage, un livret détachable regroupe le rappel du programme officiel, des conseils méthodologiques, tous les corrigés et un mini-dictionnaire. Des fichiers audio MP3 téléchargeables reprennent les exemples du cours, ce qui donne la possibilité de retravailler la prononciation et la compréhension orale à la maison. Pour un élève qui vise une progression solide sur l’ensemble des compétences, c’est un outil très complet.
Comment l’utiliser ?
- Revoir un point non compris après un contrôle. Après un devoir raté sur le passato prossimo, repérez dans la copie les erreurs typiques (auxiliaire, accord du participe). L’élève ouvre la fiche correspondante, lit le cours, puis refait d’abord les exercices du cahier, crayon à papier. Ensuite, il réécrit cinq phrases de son contrôle en s’aidant du modèle d’exercices. Cette démarche permet de transformer une mauvaise note en séance de remédiation structurée.
- Préparer une évaluation à l’avance. Quand l’enseignant annonce : « Contrôle sur les pronoms compléments la semaine prochaine », fixez trois petites séances de 20 minutes. Jour 1 : lecture attentive de la fiche et surlignage des exemples qui ressemblent à ceux vus en classe. Jour 2 : réalisation des exercices guidés, en vérifiant avec le livret de corrigés. Jour 3 : élève et parent improvisent un mini-dialogue à l’oral en réutilisant les pronoms (lo/la/li/le). On transforme la révision en entraînement concret.
- Travailler la compréhension écrite sur les thèmes du programme. Choisissez une fiche liée à un thème culturel de 4ᵉ (sport, ville, voyages). Demandez à l’élève de lire le texte d’exemple, de souligner les informations importantes, puis de répondre à trois questions que vous inventez (« Qui ? Où ? Quand ? »). Ensuite, il compare ses réponses aux phrases du texte pour vérifier qu’il a bien ciblé les éléments essentiels.
- Installer une routine hebdomadaire. Une fois par semaine, hors période de contrôle, l’élève choisit lui-même une fiche qu’il se sent moins bien maîtriser. Il relit le cours, fait deux ou trois exercices, puis note dans un cahier de suivi ce qu’il a retenu : une nouvelle tournure utile, un verbe à connaître, une erreur à ne plus commettre. Cette trace écrite personnelle ancre les progrès dans la durée.
2. Chouette – Italien 5e/4e – LV2 (A1+, A2) (Hatier, 2022)

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Ce cahier de révision et d’entraînement est pensé spécifiquement pour la 5ᵉ et la 4ᵉ, avec un objectif clair : consolider le niveau A1 et progresser vers A2. Chaque point clé de grammaire y est présenté dans une double page très visuelle : encadrés de règles, schémas, exemples courts et bien choisis. L’élève voit en un coup d’œil ce qu’il doit retenir, sans se perdre dans un cours trop théorique.
Les exercices suivent une progression rassurante : on commence par reconnaitre la bonne forme, puis on complète, on transforme, et enfin on produit ses propres phrases. Des aides (modèles, rappels, traductions ponctuelles) jalonnent les activités pour éviter le blocage. Une large place est donnée au vocabulaire, avec des listes autour de thèmes du quotidien (loisirs, sport, école, ville) qui correspondent à ceux du programme de 4ᵉ.
La grande force de cet ouvrage réside dans l’entraînement à l’oral : des fichiers audio gratuits, accessibles sur le site de l’éditeur, permettent de travailler l’écoute et la prononciation. Un livret détachable destiné aux parents rassemble les corrigés détaillés et des informations sur le programme, ce qui facilite le suivi à la maison sans être spécialiste d’italien. Pour un élève qui a besoin de régularité et de repères clairs, c’est un compagnon de route très efficace.
Comment l’utiliser ?
- Installer un « quart d’heure italien » quotidien. Chaque jour, l’élève choisit une mini-leçon : par exemple, les articles définis ou les verbes au présent. Il lit la règle, surligne un exemple, puis réalise uniquement les deux premiers exercices. En 15 minutes, il aura manipulé la notion sans surcharge. Sur une semaine, cela couvre plusieurs points de langue, ce qui évite l’effet « révision de dernière minute ».
- Travailler l’oral avant une interrogation de compréhension. Si l’enseignant prévoit un devoir avec écoute, sélectionnez dans le cahier une activité audio proche du thème de la séquence (par exemple, une conversation sur les vacances). L’élève écoute une première fois sans rien écrire, puis une deuxième fois en cochant les bonnes réponses. Ensuite, il réécoute en répétant quelques phrases à voix haute pour améliorer l’accent. Ce rituel le met en confiance le jour J.
- Réviser une leçon de grammaire en profondeur. Après un cours sur les adjectifs possessifs, repérez la page correspondante. L’élève commence par recopier dans son cahier un tableau ou un schéma pour se faire sa « fiche maison ». Il fait ensuite tous les exercices associés, corrige grâce au livret, et note dans la marge les erreurs récurrentes (« j’oublie l’accord avec le nom », « je confonds suo et loro »). Cette prise de conscience facilite la correction durable des fautes.
- Exploiter le cahier pendant les vacances ou avant la rentrée. Pendant une période sans cours, planifiez trois séances par semaine. Jour 1 : révision d’un point de grammaire. Jour 2 : activité de vocabulaire en lien avec un thème motivant (sport, cinéma). Jour 3 : exercice audio ou rédaction de quelques phrases sur soi. L’élève garde ainsi un contact régulier avec la langue, ce qui évite la perte de réflexes, notamment pour les conjugaisons.
3. Tutto bene ! Italien cycle 4 / 4e LV2 – Cahier d’activités (Hachette Éducation, 2017)

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Ce cahier d’activités en couleurs accompagne le manuel Tutto bene ! utilisé dans de nombreux collèges, mais il peut aussi servir en autonomie comme support de révision. Il a été conçu pour suivre l’élève tout au long de son année de 4ᵉ : chaque unité propose des activités de compréhension orale et écrite, d’expression et de grammaire liées à un même thème. On retrouve ainsi les grands axes du programme de cycle 4, comme les voyages, le sport ou la vie urbaine.
Les exercices sont variés : repérage d’informations dans des dialogues, jeux de rôle, production de mini-textes, transformations de phrases, activités de vocabulaire illustré. La mise en page colorée et aérée facilite l’entrée dans la tâche, même pour des élèves peu attirés par l’écrit. Le livre compte 72 pages, ce qui en fait un outil dense mais pas intimidant, qui peut être parcouru dans son intégralité sur l’année.
Un atout majeur : les fichiers MP3 des dialogues et des textes sont disponibles pour réécoute à la maison, ainsi que des liens vidéo. L’ouvrage s’insère dans un « parcours digital » qui offre des exercices interactifs complémentaires, mais même sans ces ressources, le cahier permet déjà de travailler toutes les compétences langagières. Pour un élève qui utilise Tutto bene ! en classe, c’est le prolongement idéal ; pour les autres, c’est une réserve d’activités authentiques très proche de ce qui est demandé au collège.
Comment l’utiliser ?
- Rejouer à la maison les séances menées en classe. Si le manuel Tutto bene ! est celui du collège, après chaque séquence l’élève réalise les pages correspondantes dans le cahier : écoute des dialogues, réponses aux questions, puis jeu de rôle avec un parent ou un camarade (par exemple, commander une pizza ou acheter un billet de train). On consolide ainsi immédiatement ce qui a été vu en cours, avant que les erreurs ne s’installent.
- Construire un entraînement ciblé sur la compréhension orale. Choisissez une activité audio par semaine. Première écoute : repérage du cadre (qui parle ? où ?). Deuxième écoute : l’élève note en français cinq informations-clés. Troisième écoute : il relève deux expressions italiennes qu’il trouve utiles (mi piace, secondo me…). Ensuite, vous lui demandez de les réutiliser dans trois phrases personnelles. Ce travail précis améliore à la fois l’oreille et la réutilisation active du lexique.
- Préparer une tâche finale de production. Avant une évaluation où il faudra, par exemple, présenter sa ville idéale, repérez dans le cahier une unité sur les villes. L’élève fait les activités de vocabulaire et de grammaire, puis s’aide des phrases modèles pour rédiger un brouillon de présentation. Vous pouvez jouer le rôle d’un correspondant italien et lui poser des questions supplémentaires : « Com’è il centro? Ci sono parchi? ». Il s’habitue ainsi à répondre spontanément.
- Occuper utilement les périodes de creux dans l’année. En cas d’absence de l’enseignant ou de semaine plus légère, l’élève peut avancer de lui-même dans une unité non encore abordée, en prenant soin de noter ses questions. Lors du retour en classe, il pourra demander des éclaircissements ciblés. Cela transforme un temps perdu en avance sur le programme, ce qui sécurise fortement les élèves anxieux.
4. Mémo italien A1-A2 (collège) (Génération 5, 2020)

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Ce petit livret de 42 pages ne ressemble pas à un cahier d’exercices classique : c’est un outil de référence conçu pour aider l’élève à corriger ses erreurs de manière autonome. Il rassemble 80 règles et notions essentielles pour maîtriser la langue italienne au collège : conjugaisons de base, accords, négation, prépositions, emploi des temps, structures de phrases fréquentes.
Chaque règle est numérotée et résumée de façon très concise, avec quelques exemples typiques. L’idée est que l’enseignant, lors de la correction d’une copie ou d’un compte rendu d’oral, note simplement le code (par exemple « Règle 23 ») dans la marge. L’élève va ensuite consulter la règle correspondante dans son mémo et corrige lui-même son erreur : il devient acteur de la remédiation, au lieu de recopier passivement une correction.
Ce système s’adapte particulièrement bien à la 4ᵉ, où les profils sont très variés : certains élèves confondent encore les articles, d’autres butent sur les temps composés, d’autres enfin sur la syntaxe. Le mémo permet à chacun de cibler ses difficultés sans être noyé dans un gros manuel. Glissé dans le sac, il reste disponible en permanence pour un doute de dernière minute avant un contrôle ou pendant la rédaction d’un devoir maison.
Comment l’utiliser ?
- Mettre en place un code de correction avec le professeur ou à la maison. Sur une rédaction notée ou un exercice de conjugaison, l’enseignant (ou le parent) souligne l’erreur et écrit « M23 » pour « Mémo, règle 23 » au lieu de corriger à la place de l’élève. Celui-ci cherche la règle, lit les exemples, puis propose lui-même une correction dans la marge. Par exemple, s’il a écrit io andato au lieu de sono andato, il repère dans la règle que andare se conjugue avec essere au passé composé et rectifie toutes les phrases concernées.
- Construire un « carnet d’erreurs » personnel. À chaque copie rendue, l’élève note dans un petit carnet trois codes de règles qui reviennent souvent (par exemple 12 : articles, 34 : prépositions, 47 : ordre des mots). Une fois par quinzaine, il relit ces règles dans le mémo et invente une phrase correcte pour chacune. Au fil des mois, il visualise les domaines où il progresse et ceux qui restent sensibles, ce qui l’aide à mieux cibler ses révisions.
- S’en servir comme aide ponctuelle pendant le travail à la maison. Lors d’un devoir maison, plutôt que de sortir immédiatement le dictionnaire ou un traducteur en ligne, l’élève consulte d’abord le mémo. Par exemple, s’il ne sait plus comment former la négation, il cherche la règle correspondante et applique le modèle (non + verbe). De cette manière, il garde la main sur sa phrase et évite de recopier des tournures approximatives trouvées sur Internet.
- Réviser très vite avant un contrôle. La veille d’une évaluation, l’élève relit uniquement les règles marquées d’un astérisque dans son carnet d’erreurs, ou celles que l’enseignant a indiquées comme prioritaires. En dix minutes, il rafraîchit ainsi les points les plus fragiles, ce qui limite les fautes « bêtes » de grammaire qui coûtent cher dans la moyenne.
5. La grammaire italienne en 10 étapes – Cours + exercices (Studyrama, 2024)

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Ce petit manuel de poche s’adresse à un public large, mais il convient très bien à un collégien de 4ᵉ motivé, surtout pour consolider la grammaire. L’ouvrage présente les règles essentielles et les points qui posent le plus souvent problème en italien, organisés en dix « étapes ». Chaque étape traite un domaine précis : conjugaison des verbes réguliers et irréguliers, pronoms, prépositions, accord de l’adjectif, emploi des temps, etc.
Chaque chapitre commence par un cours synthétique, mais rigoureux, largement rédigé en français, avec des exemples italiens. Viennent ensuite des exercices corrigés : transformations, phrases à compléter, petites traductions. Le format compact (environ 127 pages) permet de le glisser facilement dans un sac ou de le garder sur un bureau pour des révisions courtes mais régulières. L’absence d’illustrations le rend un peu plus austère qu’un cahier d’activités, mais il est très efficace pour qui accepte de travailler sérieusement.
Deux tests d’autoévaluation, au début et à la fin, permettent de mesurer les progrès réalisés. Pour un élève de 4ᵉ qui veut vraiment sécuriser la grammaire avant les exigences de la 3ᵉ, c’est un excellent tremplin : il permet de vérifier que les mécanismes de base sont acquis et de combler des lacunes plus anciennes (par exemple des confusions héritées de la 5ᵉ). Utilisé à son rythme, il donne une vision d’ensemble cohérente de la langue.
Comment l’utiliser ?
- S’en servir comme fil rouge de l’année. Au début du premier trimestre, l’élève passe le premier test d’autoévaluation sans tricher. Il note les domaines faibles (par exemple, pronoms et prépositions). Ensuite, il planifie la lecture des dix étapes en parallèle des séquences du collège : une étape toutes les deux ou trois semaines. À la fin de chaque chapitre, il corrige les exercices et barre, dans le test initial, les erreurs qu’il sait désormais expliquer.
- Réparer une difficulté ancienne de manière intensive. Si, depuis la 5ᵉ, les verbes pronominaux ou les pronoms compléments posent problème, on consacre une semaine à l’étape correspondante. Jour 1 : lecture du cours et surlignage des exemples. Jour 2 : moitié des exercices. Jour 3 : autre moitié, puis relecture de ses erreurs avec la correction. L’élève réécrit cinq phrases problématiques en les commentant (« j’ai mis lo parce que le COD est masculin singulier »). Ce travail ciblé permet de débloquer des points qui plombent la moyenne depuis longtemps.
- Préparer le passage en 3ᵉ. Au troisième trimestre, l’élève repasse le test final. Les résultats montrent les domaines encore fragiles. Il peut alors relire seulement les étapes concernées et refaire quelques exercices, cette fois sans regarder les modèles. Cette démarche donne une vision réaliste de son niveau avant l’année de brevet, ce qui aide à ajuster ses objectifs (par exemple, viser une moyenne précise ou un projet de section européenne).
- Compléter le travail avec un autre cahier. Lorsqu’un point de grammaire apparaît dans un cahier plus illustré (Chouette, Pour comprendre), l’élève peut aller voir l’explication parallèle dans La grammaire italienne en 10 étapes. Le regard change : on compare deux formulations, on vérifie si les exemples coïncident, on recopie dans son cahier de cours la version qu’on comprend le mieux. Cela renforce l’appropriation personnelle de la règle.
Conseils pour bien utiliser ces livres de soutien
Un livre de soutien scolaire n’est pas une baguette magique. La clé, c’est la régularité, même sur des temps très courts. Mieux vaut dix minutes d’italien tous les soirs qu’une séance de deux heures une fois par mois. L’idéal est de planifier dans l’emploi du temps hebdomadaire un ou deux créneaux fixes consacrés à l’italien, au même titre que le sport ou la musique.
Il est également utile d’articuler ces ouvrages avec les séquences vues en classe. Avant de commencer une unité du manuel scolaire, feuilleter rapidement la table des matières des cahiers pour voir s’il existe une leçon correspondante. Après un contrôle, revenir systématiquement sur les pages qui traitent des notions les moins réussies : on transforme ainsi une note décevante en point de départ de progrès.
Enfin, il ne faut pas négliger l’oral. Dès que l’ouvrage propose des fichiers audio, prenez l’habitude de les écouter plusieurs fois, en alternant écoute globale (comprendre l’idée générale) et écoute d’imitation (répéter phrase par phrase). Lire à haute voix les dialogues écrits, même sans enregistrement, est déjà une façon simple de préparer les prises de parole en classe et les évaluations orales.
Références
- Programme d’italien pour les classes de collège (Ministère de l’Éducation nationale)
- Programmes d’enseignements communs et optionnels de langues vivantes étrangères (collège et lycée)
- Les langues vivantes étrangères et régionales – Présentation générale
- Étudier les langues au collège – Onisep
- Langues vivantes étrangères et régionales – Ressources pour les enseignants (Éduscol)
- Programmes scolaires – Cycles 3 et 4 (collège)