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Que lire après « After » d'Anna Todd ? – Notre sélection

Que lire après « After » d’Anna Todd ? – Notre sélection

Vous avez tourné la dernière page de « After » d’Anna Todd, le cœur encore battant et l’esprit envahi par Tessa et Hardin ? Si l’intensité de leur histoire vous manque déjà, pas de panique : il existe bien d’autres romances capables de provoquer le même maelström d’émotions. Voici une sélection de romans qui devraient combler ce vide… et vous tenir éveillée jusqu’au bout de la nuit.


1. People We Meet on Vacation (Emily Henry, 2021)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « People We Meet on Vacation » d’Emily Henry, Poppy et Alex sont meilleurs amis depuis l’université, malgré des personnalités opposées : elle est extravertie, spontanée et passionnée par les escapades, lui est calme, réservé et attaché à ses habitudes. Chaque été, ils se retrouvent pour passer une semaine ensemble. Au fil des années, ils ont bâti une solide complicité. Mais un événement survenu deux ans plus tôt a brisé cette tradition. Quand Poppy propose un dernier séjour pour tenter de réparer leur lien, le duo se retrouve confronté à ses souvenirs, à ses sentiments et à la question de savoir si leur amitié peut redevenir ce qu’elle était… ou devenir autre chose.

Ce roman devrait vous séduire car on y retrouve cette tension émotionnelle construite sur la durée et sur l’ambiguïté des sentiments. Comme Tessa et Hardin, Poppy et Alex s’attirent malgré leurs différences, se blessent parfois, mais restent essentiels l’un pour l’autre. Les dialogues vifs, les piques teintées d’affection et les silences lourds de sens créent une dynamique où chaque geste compte.

On suit deux personnages qui doivent affronter leurs peurs, leurs envies et leurs maladresses pour trouver leur place dans la vie de l’autre. Là où « After » mise sur l’intensité et le tumulte, « People We Meet on Vacation » choisit une progression plus douce mais tout aussi addictive, avec une alchimie qui se construit au fil des étés. Une lecture qui joue sur le plaisir de voir deux univers se heurter, se compléter et, peut-être, finir par s’accorder.

Aux éditions HAUTEVILLE ; 403 pages.


2. Chère Ella (Rebecca Yarros, 2019)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

« Chère Ella » raconte l’histoire d’Ella, jeune mère célibataire de jumeaux, dont la vie bascule lorsque sa fille est diagnostiquée d’un cancer. Au même moment, elle entretient une correspondance avec Beckett, soldat américain et meilleur ami de son frère Ryan, en mission au Moyen-Orient. À la mort de Ryan, Beckett lui promet de veiller sur Ella. Rongé par la culpabilité et dissimulant son identité, il s’installe près d’elle pour l’aider, tout en se rapprochant peu à peu de cette femme forte et de ses enfants, jusqu’au moment où la vérité risque de briser cet équilibre fragile.

Ce roman est intéressant car, au-delà de la romance, il s’attache aux relations complexes et aux sentiments intenses qui naissent dans des situations extrêmes. Comme Hardin et Tessa, Beckett et Ella sont deux personnages cabossés par la vie, qui doivent affronter leurs blessures intérieures, leurs secrets et la peur de perdre l’autre. La relation évolue lentement, avec des moments de tension, de tendresse et d’épreuves qui mettent à l’épreuve leur confiance mutuelle.

On retrouve aussi cette intensité émotionnelle qui tient le lecteur en haleine : Rebecca Yarros ne ménage ni ses personnages ni son public, alternant instants de douceur, drames inattendus et choix déchirants. La relation avec les enfants d’Ella apporte une dimension familiale touchante qui donne encore plus de profondeur à l’histoire. Une lecture qui conjugue romance, loyauté, deuil et seconde chance, et qui, comme « After », joue sur l’attachement fort aux personnages et sur l’envie de tourner les pages pour savoir jusqu’où ils iront pour s’aimer.

Aux éditions EMOI ; 474 pages.


3. L’anti-lune de miel (Christina Lauren, 2019)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « L’anti-lune de miel » de Christina Lauren, Olive, éternelle malchanceuse, se retrouve contrainte de partir en lune de miel à Hawaï à la place de sa sœur, victime d’une intoxication alimentaire. Problème : elle doit partager ce séjour paradisiaque avec Ethan, le témoin du marié, qu’elle considère comme son ennemi juré. Entre faux-semblants, piques et quiproquos, les dix jours qu’ils passent ensemble vont peu à peu fissurer leurs certitudes et rapprocher ces deux fortes têtes plus qu’ils ne l’auraient imaginé.

Si vous avez aimé « After » d’Anna Todd, ce roman pourrait vous séduire par sa dynamique relationnelle. Comme Tessa et Hardin, Olive et Ethan entretiennent un lien fait d’attirance et de conflit, où les joutes verbales et les moments de tension précèdent les rapprochements plus tendres. On y retrouve cette manière de faire évoluer la relation par étapes : au départ, la méfiance et les préjugés dominent, puis la cohabitation forcée ouvre la voie à une meilleure compréhension de l’autre. Les maladresses, les malentendus et les révélations créent un mélange d’humour et d’émotion qui rappelle la progression parfois chaotique mais addictive des romances intenses.

En plus de ce jeu d’équilibre entre tension et complicité, « L’anti-lune de miel » apporte une dimension légère et ensoleillée qui contrebalance les drames plus sombres de « After ». Le décor exotique, les situations cocasses et le rythme fluide en font une lecture qui permet de respirer tout en offrant ce que les amatrices de romance recherchent : des personnages imparfaits, des sentiments qui se construisent dans l’adversité, et cette certitude que, malgré les obstacles, l’attachement finit par l’emporter.

Aux éditions HUGO ROMAN ; 360 pages.


4. La princesse de papier (Erin Watt, 2016)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « La princesse de papier », Ella Harper, 17 ans, tente de survivre seule depuis la mort de sa mère en enchaînant les petits boulots pour payer ses études, jusqu’à travailler dans un club de strip-tease. Sa vie bascule lorsque Callum Royal, ami de son père qu’elle n’a jamais connu, se présente comme son tuteur légal. Elle quitte alors la précarité pour le luxe démesuré du manoir Royal, où l’attendent cinq fils aussi séduisants qu’hostiles, menés par Reed, déterminé à la pousser vers la sortie. Entre conflits, attirance et secrets, Ella doit trouver comment s’imposer dans cet univers qui ne veut pas d’elle.

Si vous avez aimé « After » d’Anna Todd, « La princesse de papier » peut vous accrocher pour plusieurs raisons. On retrouve d’abord la même intensité émotionnelle autour d’une relation centrale qui oscille entre tension et désir, avec un héros masculin complexe, charismatique, parfois détestable, mais impossible à ignorer. Comme Tessa dans « After », Ella est projetée dans un environnement qui bouscule ses repères et où elle doit affirmer qui elle est, sans se laisser écraser. La dynamique entre elle et Reed rappelle celle de Tessa et Hardin : un mélange de confrontations, de provocations et d’attirance irrépressible, où chaque échange se transforme en terrain miné.

L’histoire joue aussi sur une atmosphère addictive, faite de drames personnels, de secrets de famille et de rebondissements qui donnent envie de tourner les pages. Le contraste entre le monde modeste d’où vient Ella et l’univers fermé, riche et impitoyable des Royal crée un effet de choc qui renforce les tensions. Et, comme dans « After », il ne s’agit pas seulement d’une romance : les liens avec les personnages secondaires, les rivalités et les alliances, les jeux de pouvoir au lycée ajoutent plusieurs couches à l’intrigue. C’est ce mélange d’émotions fortes, de relations compliquées et de suspense sentimental qui en fait un bon choix.

Aux éditions HUGO ROMAN ; 375 pages.


5. Meilleurs ennemis (Sally Thorne, 2016)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Meilleurs ennemis » de Sally Thorne, Lucy et Joshua travaillent dans la même maison d’édition depuis la fusion de leurs entreprises. Ils se retrouvent face à face, chaque jour, dans un bureau qu’ils transforment en véritable champ de bataille. Entre eux, c’est une succession de piques, de petits jeux et de provocations. La situation se complique lorsqu’une promotion est mise en jeu : celui qui l’obtiendra deviendra le supérieur de l’autre. Mais un baiser inattendu vient brouiller les cartes.

Ce bouquin reprend cette dynamique de tension intense entre deux personnages que tout semble opposer. Comme Tessa et Hardin, Lucy et Josh construisent leur relation sur un mélange de défi et d’attirance, où les confrontations révèlent peu à peu une vulnérabilité insoupçonnée. On retrouve aussi ce jeu d’équilibre entre colère et désir, avec des dialogues vifs, des moments de tendresse inattendus et une évolution qui se fait pas à pas.

L’alchimie repose sur la découverte progressive de l’autre, derrière les façades, et sur cette idée que la personne qu’on croyait détester peut devenir celle qui compte le plus. « Meilleurs ennemis » mise sur un humour constant, une tension romantique bien dosée et un duo charismatique, ce qui en fait une lecture parfaite pour prolonger les émotions ressenties dans « After ».

Aux éditions HARPERCOLLINS ; 496 pages.


6. Did I Mention I Love You ? (Estelle Maskame, 2015)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Did I Mention I Love You ? », Eden, 16 ans, quitte Portland pour passer l’été à Santa Monica chez son père qu’elle n’a pas vu depuis trois ans. Elle découvre sa belle-mère, trois demi-frères, et un univers californien qui n’a rien à voir avec sa vie habituelle. Parmi eux, Tyler, l’aîné, incarne le cliché du bad boy : charmeur, imprévisible, souvent blessant. Entre disputes, rapprochements inattendus et secrets révélés, une attirance réciproque s’installe, compliquée par le regard des autres et la place qu’ils occupent dans cette famille recomposée.

On retrouve dans cette histoire un schéma relationnel similaire : une héroïne au caractère affirmé, un garçon aussi agaçant qu’attirant, une tension constante entre rejet et désir. Comme Hardin dans « After », Tyler cache ses blessures derrière une façade arrogante et autodestructrice, ce qui rend ses failles d’autant plus marquantes lorsqu’elles se dévoilent. La romance avance pas à pas, ponctuée de disputes, de confidences et d’instants volés, ce qui entretient le suspense et donne envie de tourner les pages.

À cela s’ajoute une ambiance estivale qui contraste avec l’intensité des sentiments : fêtes, sorties entre amis, rivalités, mais aussi moments plus intimes où les personnages baissent la garde. Si « After » joue beaucoup sur le tumulte émotionnel et la passion brûlante, « Did I Mention I Love You ? » y mêle en plus la complexité d’un amour jugé « interdit » par l’entourage. Une lecture qui combine romance addictive, personnages imparfaits mais attachants, et dynamique émotionnelle qui rappellera aux fans d’Anna Todd les raisons pour lesquelles ils avaient été happés par « After ».

Aux éditions 12-21 ; 301 pages.


7. The Deal (Elle Kennedy, 2015)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « The Deal » d’Elle Kennedy, Hannah, étudiante brillante passionnée de chant, se retrouve à aider Garrett, capitaine de l’équipe de hockey, à remonter sa moyenne en philosophie pour sauver sa saison sportive. En échange, il accepte de l’épauler dans sa tentative de séduire Justin, un joueur de football qu’elle admire de loin. Ce marché, censé rester purement stratégique, évolue au fil du temps en une complicité inattendue, puis en une relation plus profonde, nourrie par des confidences et des moments drôles comme touchants.

Si vous avez aimé « After » d’Anna Todd, vous retrouverez ici plusieurs ingrédients familiers : un duo que tout oppose au départ, une attirance qui s’installe progressivement, une alternance de points de vue permettant de comprendre les émotions de chacun. Comme Tessa et Hardin, Hannah et Garrett portent leurs blessures et doivent composer avec un passé lourd — elle, avec un traumatisme intime ; lui, avec une relation familiale toxique. Mais là où « After » joue sur la tension orageuse et les ruptures, « The Deal » privilégie l’humour, les piques bien placées et une tendresse qui se construit pas à pas.

Le roman séduit aussi par son univers de campus américain, entre soirées étudiantes, camaraderie de vestiaire et atmosphère sportive. La romance se tisse au milieu de ce décor, avec un équilibre entre légèreté et sujets plus sérieux. Les dialogues vifs, les situations cocasses et la sincérité des moments intimes font que, même si le schéma semble classique, l’histoire garde un souffle entraînant. Pour les lectrices de « After », c’est l’occasion de retrouver la tension émotionnelle et le plaisir d’observer deux personnages apprendre à s’aimer, mais dans un ton plus drôle.

Aux éditions HUGO ROMAN ; 418 pages.


8. Wrong (Jana Aston, 2015)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Wrong » de Jana Aston, Sophie, étudiante et serveuse dans un café, nourrit depuis des semaines un faible pour un client élégant et mystérieux. Ce qu’elle ne s’attend pas à découvrir, c’est que cet homme est en réalité le gynécologue du campus. Leur rencontre dans un contexte aussi gênant marque le début d’une relation intense, marquée par des dialogues drôles, une forte tension sexuelle et des situations aussi embarrassantes qu’irrésistibles. Entre une héroïne maladroite et curieuse et un héros plus âgé, sûr de lui et un brin possessif, l’histoire alterne moments tendres, scènes brûlantes et humour décapant.

Si « After » d’Anna Todd vous a plu, « Wrong » peut être un excellent choix pour retrouver certains ingrédients similaires : une romance à forte tension, une attraction immédiate et presque impossible à contenir, ainsi qu’un duo que tout semble opposer mais qui finit par se compléter. Comme Tessa et Hardin, Sophie et Luke évoluent dans un rapport où le désir se mêle à l’interdit et où la différence d’âge devient un moteur narratif.

Là où « After » joue sur le tumulte émotionnel et la transformation des personnages à travers leur relation, « Wrong » mise davantage sur le comique de situation et l’énergie de ses dialogues, tout en conservant ce mélange de passion et de défi qui attire dans les histoires d’amour intenses. On y retrouve aussi cette dynamique du héros charismatique et un peu énigmatique, capable de désarçonner l’héroïne, et de bousculer toutes ses certitudes. C’est un récit plus léger, mais qui, comme « After », capture cette sensation d’être entraîné dans une relation à laquelle on ne s’attendait pas… et qu’on n’a plus envie de quitter.

Aux éditions MILADY ; 259 pages.


9. Ugly Love (Colleen Hoover, 2014)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Ugly Love » de Colleen Hoover, Tate Collins, étudiante en soins infirmiers, emménage chez son frère à San Francisco. Elle y rencontre Miles Archer, pilote de ligne et meilleur ami de ce dernier. Dès le départ, Miles lui impose deux règles : ne pas parler de son passé et ne pas attendre de futur ensemble. Ce qui commence comme une relation purement physique se complique vite, car Tate développe des sentiments pour cet homme mystérieux, marqué par un drame survenu six ans plus tôt. Alternant entre le présent vu par Tate et les souvenirs de Miles, le récit dévoile peu à peu les blessures profondes qui l’empêchent de s’ouvrir à l’amour.

« Ugly Love » pourrait vous séduire par la même intensité émotionnelle et cette tension permanente entre attirance et résistance. Comme Tessa et Hardin, Tate et Miles sont pris dans un lien fort où la passion se mêle aux blessures personnelles. On retrouve ce mélange de moments tendres et de confrontations douloureuses, où chaque rapprochement semble menacé par les secrets de l’un et la persévérance de l’autre.

L’écriture de Colleen Hoover donne un rythme addictif, avec des scènes à la fois intenses et sensibles, et des personnages secondaires, comme le Capitaine, qui ajoutent chaleur et profondeur au récit. Là aussi, l’histoire montre comment deux personnes imparfaites, malgré des choix parfois maladroits, peuvent trouver un chemin vers une forme d’équilibre et de rédemption.

Aux éditions HUGO ROMAN ; 400 pages.


10. Jeu de patience (Jennifer L. Armentrout, 2013)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Jeu de patience » de Jennifer L. Armentrout, Avery quitte sa ville natale et ses parents pour rejoindre une université à plus de 1500 kilomètres de chez elle. Ce départ est sa seule chance d’échapper à un traumatisme qui la hante depuis cinq ans, depuis une soirée d’Halloween qui a bouleversé sa vie. Elle se fixe trois règles simples : être à l’heure, ne jamais retirer le bracelet à son poignet gauche, et ne pas attirer l’attention. Mais dès son premier jour, elle percute Cameron Hamilton, étudiant populaire, séduisant, drôle et persévérant, qui s’intéresse immédiatement à elle. Entre son envie de se protéger et l’insistance bienveillante de Cam, Avery voit ses barrières peu à peu mises à l’épreuve, tandis que des appels et messages menaçants viennent réveiller ses pires souvenirs.

Comme Tessa dans « After », Avery est une héroïne qui évolue dans un environnement universitaire et dont la rencontre avec un jeune homme charismatique bouleverse tous les repères. Ici, la relation se construit lentement : Cameron n’est pas dans la confrontation brutale comme Hardin, mais dans la patience et l’humour, ce qui donne au récit un ton plus doux tout en conservant une tension constante. Les deux histoires partagent la thématique de la reconstruction : chez Anna Todd, Tessa apprend à s’affirmer ; chez Jennifer L. Armentrout, Avery apprend à faire confiance malgré un passé lourd.

On retrouve aussi cette alternance entre moments de complicité légère et tensions émotionnelles fortes, qui pousse à tourner les pages pour savoir si les personnages vont réussir à s’accorder. Les interactions avec les amis, la place importante donnée aux sentiments, et la façon dont le passé vient tester la solidité du couple rappellent l’atmosphère de « After », tout en offrant une dynamique différente : moins explosive mais tout aussi prenante pour quiconque aime suivre des personnages imparfaits, en pleine évolution, et voir comment l’amour peut devenir un levier de changement.

Aux éditions J’AI LU ; 429 pages.


11. Dublin Street (Samantha Young, 2012)

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Dans « Dublin Street » de Samantha Young, Jocelyn Butler quitte les États-Unis pour s’installer à Édimbourg. Marquée par un drame familial, elle garde ses distances avec les autres. En cherchant une colocation, elle rencontre Ellie, pétillante et accueillante, ainsi que Braden, le demi-frère d’Ellie, séduisant, sûr de lui, et bien décidé à percer ses défenses. Malgré un accord initial limité à une relation physique, leur lien évolue, forçant Jocelyn à affronter ses peurs et à s’ouvrir aux sentiments qu’elle redoute. Autour d’eux gravitent des personnages secondaires attachants, qui enrichissent cette romance faite d’humour, d’émotions et de tension.

On retrouve ici le mélange d’attirance irrésistible, de confrontations verbales et de moments tendres entre deux personnalités fortes. À l’instar de Tessa et Hardin, Joss et Braden se heurtent souvent, mais c’est dans ces tensions que naît la profondeur de leur relation. Leurs blessures passées influencent leurs choix, rendant chaque rapprochement à la fois intense et fragile.

L’histoire donne aussi une place importante aux liens d’amitié et aux figures secondaires, créant un univers relationnel dans lequel on aime revenir. Là où « After » mise sur une dynamique chaotique et addictive, « Dublin Street » joue davantage sur la reconstruction émotionnelle et sur l’évolution mutuelle des protagonistes, tout en conservant ce mélange d’amour passionnel et de défis personnels qui captive jusqu’à la dernière page.

Aux éditions J’AI LU ; 406 pages.


12. Loin de tout (J. A. Redmerski, 2012)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Loin de tout », Camryn, 20 ans, décide de tout quitter après une série de coups durs, dont la perte tragique de son petit ami. Elle monte dans un bus sans savoir où aller et croise Andrew, 25 ans, lui aussi marqué par la vie. Ils prennent la route ensemble, se rapprochent peu à peu et redécouvrent, au fil de leurs haltes et de leurs conversations, la possibilité d’un avenir meilleur. Mais Andrew cache un secret qui pourrait tout bouleverser.

Ce bouquin offre plusieurs points de convergence avec « After ». On y retrouve l’intensité des relations construites dans la durée, avec cette tension entre attirance et méfiance qui maintient en haleine. Comme Tessa et Hardin, Camryn et Andrew portent chacun un passé lourd, ce qui rend leur rapprochement à la fois fragile et puissant. Les dialogues sont nombreux, parfois teintés de provocation, et les scènes plus sensuelles viennent ponctuer une relation en constante évolution.

« Loin de tout » joue aussi sur l’idée de la transformation au contact de l’autre : Camryn, blessée et méfiante, s’ouvre à nouveau grâce à Andrew, tandis que lui apprend à partager ses fêlures. Là où « After » se concentre sur un univers étudiant, ici la rencontre se déroule sur la route, avec une liberté géographique qui sert de toile de fond à leur apprentissage mutuel. Cette dynamique – deux jeunes adultes qui se cherchent, s’attirent, se défient, et finissent par s’influencer profondément – devrait séduire celles qui veulent retrouver le mélange d’émotions, de passion et de secrets qui faisait la force de « After ».

Aux éditions MILADY ; 602 pages.


13. Dévoile-moi (Sylvia Day, 2012)

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Dans « Dévoile-moi », Eva Tramell vient de s’installer à New York avec son meilleur ami Cary. Fraîchement embauchée dans une agence de publicité, elle croise par hasard Gideon Cross, riche homme d’affaires propriétaire de l’immeuble où elle travaille. L’attirance est immédiate, mais leurs passés respectifs, marqués par des blessures profondes, rendent leur relation instable et intense. Entre attirance physique irrépressible et difficultés à s’ouvrir, ils tentent de bâtir un lien fait à la fois de désir et de réelles émotions.

Ce roman pourrait bien vous séduire par la manière dont il déploie une relation passionnelle, marquée par la tension permanente entre deux personnalités fortes. Comme Hardin et Tessa, Eva et Gideon s’attirent autant qu’ils se heurtent, oscillant entre rapprochements brûlants et disputes explosives. L’histoire reprend ce schéma de couple qui se construit dans la tempête, avec une dynamique de pouvoir, de jalousie et de secrets qui pousse à tourner les pages pour comprendre si la passion peut résister à leurs blessures.

L’environnement luxueux, les dialogues chargés d’émotion et les révélations progressives sur leurs passés renforcent cette intensité. Pour quiconque cherche à retrouver le cocktail de romance tumultueuse, d’attirance irrésistible et de zones d’ombre qui faisait le sel de « After », « Dévoile-moi » offre une expérience proche, tout en apportant un ton plus adulte, plus sensuel.

Aux éditions J’AI LU ; 405 pages.


14. Wallbanger (Alice Clayton, 2012)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Wallbanger » d’Alice Clayton, Caroline Reynolds s’installe à San Francisco avec l’idée de profiter enfin d’un appartement parfait. Mais ses nuits paisibles volent en éclats à cause de Simon, son voisin, dont les ébats – bruyants et variés – secouent littéralement le mur mitoyen. Excédée, Caroline décide de lui dire ses quatre vérités. La confrontation tourne vite à un jeu piquant fait de provocations et de réparties. Au fil des rencontres et grâce à leurs amis communs, la tension se transforme en complicité, puis en une relation où humour et attirance s’entremêlent. Clive, le chat malicieux de Caroline, et une galerie de personnages secondaires hauts en couleur complètent cette comédie romantique au ton léger.

« Wallbanger » présente plusieurs points d’accroche similaires, tout en restant dans un registre plus humoristique. Comme dans « After », la relation centrale naît d’un choc initial : deux personnalités fortes qui s’affrontent avant de s’apprivoiser. On retrouve cette dynamique de tension progressive, où l’attirance se nourrit autant des joutes verbales que des moments de tendresse.

Simon, comme Hardin, bouscule l’héroïne et met à l’épreuve ses certitudes, mais ici le ton reste espiègle et souvent léger, ce qui rend l’attente du rapprochement tout aussi addictive. Le roman joue sur des échanges vifs, des situations cocasses et une évolution lente de la romance, ce qui prolonge ce plaisir d’assister à la transformation d’une relation de défi en lien affectif fort.

Aux éditions J’AI LU ; 438 pages.


15. Beautiful Disaster (Jamie McGuire, 2011)

Disponible sur Amazon Disponible à la Fnac

Dans « Beautiful Disaster » de Jamie McGuire, Abby Abernathy entre à l’université pour repartir à zéro. Sa rencontre avec Travis Maddox, boxeur clandestin et séducteur invétéré, bouleverse ses plans. Un pari improbable les amène à cohabiter, et leur amitié teintée d’attirance se transforme peu à peu en relation aussi intense que chaotique. Entre joutes verbales, moments tendres et disputes explosives, leur histoire prend un rythme imprévisible, sur fond de secrets et de blessures passées.

Ce roman peut plaire aux fans de « After » car il joue sur la même dynamique : une héroïne qui pensait pouvoir éviter les ennuis se retrouve entraînée dans une relation orageuse avec un garçon magnétique, imprévisible et protecteur à l’excès. Comme Hardin, Travis incarne le bad boy charismatique dont le tempérament instable fascine autant qu’il inquiète. Les échanges entre Abby et Travis, à la fois drôles, tendres, parfois cruels, rappellent la tension constante entre Tessa et Hardin.

Les deux histoires partagent aussi ce mélange d’attirance irrépressible et de conflits, avec des personnages qui s’aiment avec la même intensité qu’ils se blessent. Enfin, la vie sur un campus, l’importance des amis secondaires et les rebondissements liés au passé des protagonistes créent une atmosphère familière pour quiconque a été happé par l’univers tumultueux de « After ».

Aux éditions J’AI LU ; 440 pages.

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